(4) The Encyclopaedia of English Empire Postage Stamps. Volume 1 Great Bretain and The Empire in Europe. Pages 19 et 63.
Dublin ) et (cachet en port-payé à Londres pour les lettres à destination de la France)4
applicable aux lettres en provenance d'Angleterre (tarif de 1759. cachet en port-payé de
Lettre du 7 février 1788 de Dublin pour Paris envoyée en port payé depuis Dublin jusqu’à Londres. Taxe 20 sols
Lettre du 7 février 1788 de Dublin pour Paris envoyée en port-payé jusqu’à Londres
Lettre du 4 septembre 1786 de Dieppe à Londres avec passage à Paris. Marque de port payé Paris . Taxe de 10 pence à l’arrivée à Londres (tarif du 1er juin 1711). Au verso, marque bishop d’arrivée à Londres le 18 septembre et mention manuscrite « pour le port d’angleterre » indiquant que la taxe a été payée en numéraire au départ
L’affranchissement est désormais obligatoire du lieu de départ en France jusqu’à Calais. Les lettres doivent recevoir le cachet de port payé du bureau d’origine ou à défaut une marque du bureau d’origine.
Convention du 15 août 1784
Lettre du 30 mars 1784 de Londres pour Lille affranchie 10 patars (tarif du 1er août 1759). Marque noire d’entrée ANGLETERRE (de 1783 30 mm*3) apposée à Calais
Londres-Douvres-Calais-Lille
La taxe est égale à celle du bureau de départ jusqu’à Paris plus celle de Paris à Calais (tarif de 1759). La taxe des lettres d’Angleterre pour Lille exprimée en patars (10 pour le trajet de Londres à Lille) est due à l’arrivée en France lorsque la lettre part de Londres (tarif du 1er juin 1711)
Le vaisseau le Prudent (bateau corsaire) en remontant de Ste Lucie à St Kitt (île Christophe, faisant partie des petites Antilles) avait pris quatre navires du grand convoi de St Domingue sortant de St Louis, et qu’il donnait la chasse aux autres…Nous apprenons dans le moment un bien triste événement arrivé dans la Rade de Portsmouth. Le pauvre Amiral Kempenfelk ayant mis son vaisseau à la vande pour réparer quelques dommanges à son doublage, et ayant oublié de fermer les sabords de la troisième batterie, a coulé bas dans un grain, avec tous son équipage et 200 femmes qui étaient à bord.. »
Lettre du 30 août 1782 de Londres pour Nantes acheminée par la Belgique. Marque postale G de Gand. Taxe 12 sols (tarif de 1759 : 12 sols sur les lettres en provenance des Pays-Bas autrichiens jusqu’à Paris) et 8 sols de Paris à Nantes.
Acheminement de Londres à Nantes par la voie de Belgique
Évocation de la prise de quatre navires par un corsaire et du naufrage du Royal George dans la Rade de Portsmouth
Sans bureau de poste installé avant 1794, les Iles Anglo-Normandes n'étaient pas soumises à la législation postale Anglaise avant cette date. Les lettres étaient acheminées vers ou en provenance du continent par bateau privé.
Lettre d’avril 1776 de Guernesey pour Nantes avec cachet d’entrée de Saint-Malo (Lenain n°12) Taxe de 6 sous pour le trajet de Saint-Malo à Nantes selon le tarif du 1er août 1759 pour une distance comprise entre 20 et 40 lieues.
Les échanges entre les deux pays reprennent avant la signature du traité de Versailles de septembre 1783 sur les bases du traité de 1713. Le courrier de Londres part pour la France et la Hollande chaque mardi et vendredi. (The London Gazette du 6 mars 1783)
Le passage par Bruxelles n’affecte pas le tarif appliqué qui reste celui par Calais de 1759.
De la fin de la guerre d’Indépendance des Etats-Unis à la Révolution française
Lettre du 13 février 1781 de Londres à Paris avec la marques postale bleue D’AB (d’Angleterre par Bruxelles) indiquant le passage par Bruxelles. Il existe la même marque en noir. La taxe de 20 sols résulte de l’application du tarif de 1759 aux lettres de l’Angleterre pour la France
Lettre du 27 octobre 1780 de Londres à Dunkerque avec une taxe de 14 sols payée en France (tarif de 1759 : 10 sols pour les lettres en provenance de Londres jusqu’à Calais et 4 sols pour les lettres entre deux villes de province distantes jusqu’à 20 lieues inclus).
Les lettres ne reçoivent plus la marque postale DANGLETERRE mais celle de DAB apposée à Bruxelles. La marque DAB en vert foncé (1779-1780) et bleu vert à bleu clair (1780-1783) signifie « D’Angleterre par Bruxelles ».
L’ACTIVITÉ DE TOUR ET TASSIS PENDANT LA GURRE D’INDÉPENDANCE DES ÉTATS-UNIS
De 10 juillet 1779 au 17 mars 1783, les échanges directs entre la France et l’Angleterre sont interrompus, la voie de Douvres à Calais est fermée. L’accord passé le 10 novembre 1779 avec l’organisation TOUR et TASSIS permet l’acheminement des lettres par la voie de Douvres à Ostende puis Bruxelles et Valenciennes.
Lettre du 31 juillet 1778 de Londres à destination de Paris avec le cachet « D’ANGLETERRE » taxée 20 sols : taxe selon le tarif du 1er août 1759 des lettres simples d’Angleterre pour Paris, adressée à Mr La Durantie négociant (et armateur) de Bordeaux chez M Concel rue St Jacques près de la Visitation à Paris.
Dans la lettre, l’auteur se propose d’aider le père d’un fils fait prisonnier par les anglais alors qu’il était passager d’un brigantin, le St Jacques, en train d’effectuer un voyage entre Cayenne et la Caroline. Le fils a été fait prisonnier en Jamaïque puis transféré à Londres. Le bâtiment a été conduit à la Nouvelle York (New-York aujourd’hui).
– La Guerre d’Indépendance des Etats-Unis (1778-1783)
(3) Catalogue des marques de passage de James van der Linden 1993 Soluphil n°1718 page 149
Lettre du 15 mars 1763 de Londres pour Marseille taxée 32 sols (tarif de 1759 : de Londres à Paris 20 sols et de Paris à Marseille 12 sols). Marque d’entrée D’ANGLETERRE apposée à Paris (n°908 du catalogue des marques de passage de James van der Linden. (page 82)
Selon les dispositions du traité de Paris signé le 10 février 1763, la correspondance entre Douvres et Calais est ouverte à nouveau à dater du 14 février 1763.
Reprise des relations postales le 14 février 1763 après la signature du traité du Paris du 10 février 1763.
Lettre double pesant 3g (gros soit 3/8 d’une once ou 1,50 port d’une lettre simple) du 20 janvier 1758 de Londres à Bordeaux en transit par Rotterdam (blocus). La taxe appliquée est 34 sols depuis Rotterdam qui faisait partie à l’époque des Provinces-Unies soit de Rotterdam à Paris 16 sols*1,50 soit 24 et de Paris à Bordeaux 7*1,50 soit 10 sols d’où le total de 34 sols (tarif de 1704). Marque d’entrée HOLLANDE (3)
Acheminé de Rotterdam le 26 janvier 1758
P(ar) T(très) H (umble) Ser(ieurs) VI WOS
& PL Aubertin
La lettre est prise en charge par l’organisation TOUR et TASSIS (convention de 1757) entre cette organisation et les Provinces-Unies. Itinéraire: Londres- Rotterdam-Gand-Lille-Paris-Bordeaux
– Acheminement privé de Londres jusqu'à Rotterdam
Lettre du 2 septembre 1762 de Plymouth pour Florensac taxée 10 sols (ce tarif de 1759 ne peut pas être expliqué). La lettre a été acheminée par un navire jusqu’en France mais pas d’indication du port d’entrée.
Contrairement aux lettres précédentes, où il écrivait de Tavistock, cette fois-ci, il est arrivé à Plymouth.
Mr de Fontenille annonce à son oncle son départ après demain pour St Malo. Avant de partir, il a dû faire tirer une lettre de change de 530 livres tournois tirée sur son oncle au profit d’un négociant de Plymouth, Mr Chalier : « Me trouvant à la veille de mon départ pour France et n’espérant pas recevoir de vos nouvelles, j’ay pris le party de tirer sur vous une lettre de change de 530 livres tournois pour me mettre dans le cas de pouvoir vous joindre Mr Chalier, négociant de cette ville a bien voulu sur votre letre de me l’accorder elle est à 20 jours de datte.. »
Il lui écrit aussi qu’il part demain pour St Malo : « je pars après demain pour St Mal... »
Avant le départ de Plymouth, une surprise l’attendait de la part de son médecin qui lui a réclamé de l’argent pour les soins qu’il lui a dispensé. Pour le régler, il a été encore obligé de tirer une lettre de change sur son oncle : « J’ay été obligé pour partir d’angleterre de tirer sur vous mon cher oncle une lettre de change de cinq cents trente livres au moment de mon départ un coquin de médecin qui ne m’avait rien demandé pour le traitement de ma maladie parce qu’il ce trouvait être payé par le roy d’angleterre me fait comparaître devant le juge de paix et ma fait payer 8 louis malgré tout ce que jay pu dire au juge et comme j’eusse été mis en prison jusqu’à ce que j’eus payé et que cela aurait retardé mon retour j’ay mieux aimé perdre ces 8 louis que de luy faire un procès qui m’aurait beaucoup coûté … »
Lettre du 4 juillet 1762 de Tavistock pour Florance pour Mademoiselle de Serre. Cachet de Rennes (Lenain n° 5) et taxe 17 sols (Tarif de 1759 : de Rennes à Paris 8 sols et de Paris à Agde 10 sols soit un port de 18 sols) au lieu de 17 sols (différence inexpliquée)
Taxe 18 sols soit 8 sols de St-Malo à Paris et 10 sols de Paris à Agde (tarif de 1759).
Lettre du 18 septembre 1762 de St Malo pour Floransac (près d’Agde). Marque postale de Saint-Malo Lenain n°11.
Lettre du 12 avril 1762 de Plymouth à destination de Floransac (Bas Languedoc). Marque manuscrite « angletaire » sans doute apposée à Paris et taxe 30 sols s’explique comme suit de Londres à Paris 20 sols, de Paris à Floransac 10 sols (par Agde) soit les 30 sols (tarif de 1759). A Londres, la taxe a été payée pour le trajet de Plymouth à Londres (l’ACT OF 1711 (9 ANNE. CAP.10) prévoit une taxe de 4 pence pour une distance au-delà de 80 miles pour une lettre simple).
A Plymouth, les lettres étaient confiées à un représentant de la Compagnie des Indes françaises qui se chargeait de les déposer dans une boîte aux lettres en France.
mais les lettres circulent officiellement bien que la voie de Douvres à Calais soit fermée Le Capitaine de Fontenille raconte son arrivée à St Malo : «… Nous sommes partis de Plymouth le 7 du courant et nous sommes arrivés à St Malo le 10.. »
– Correspondance d’un capitaine de l’armée des Indes capturé à Pondichéry détenu à Plymouth puis à Tavistock avec son oncle
Gand-Bruxelles-Valenciennes-St Quentin-Paris
Marque d’entrée par Ostende
Lettre simple du 1er janvier 1759 de Tapson (près d’Exeter) à « Monsieur Gobbé de la Gaudinais miseur de la ville de Redon et communauté de Redon Grande Rue à Redon en Bretagne». Marque d’entrée Ostende (en fait, cette marque postale devait être utilisée à Gand puisque le port d’Ostende était fermé pendant toute la durée de la guerre). Taxe 20 sols : Pays-Bas autrichiens à Paris 12 sols et de Paris à St Malo 9 sols) (Tarif de 1759)
– Pendant toute la durée de la Guerre de Sept Ans, le port d’Ostende fut fermé (du 30 décembre 1758 au 10 février 1763). Les lettres en provenance d’Angleterre passaient par Douvres-Flushing, Breskens, Gand, Lille, Paris et la destination finale.
marque de contrôle du responsable anglais des prisonniers séjournant à Trapson
Entrée par Le Havre
Lettre du 6 juin 1757 de Tapson (près d’Exeter) à « Monsieur Gobbé de la Gaudinais Conseiller du Roy Receveur miseur des villes et communauté de Redon Grande Rue à Redon en Bretagne ». Marque manuscrite « Dangleterre ». Marque d’entrée en France Havre (Lenain n°2a). Taxe 7 sols (Tarif de 1704 d’une distance entre deux villes de provinces comprise entre 80 et 100 lieues). Au verso, marque de contrôle de l’agent de Trapson.
Entrée par L’Orient
Lettre du 2 juillet 1758 de Tapson (près d’Exeter) à « Monsieur Gobbé de la Gaudinais miseur de la ville de Redon et communauté de Redon y demeurant Grande Rue à Redon en Bretagne». Marque d’entrée en France L’Orient (Lenain n°3) Taxe 3 sols (Tarif de 1704 d’une distance entre deux villes de provinces comprise jusqu’à 20 lieues incluses).
Entrée par St Malo
Lettre du 20 juin 1758 de Tapson (près d’Exeter) à « Monsieur Gobbé de la Gaudinais miseur de Redon demeurant Grande Rue en Bretagne à Redon ». Marque d’entrée en France S.Malo (Lenain n°11). Taxe 4 sols (Tarif de 1704 d’une distance entre deux villes de provinces comprise entre 20 et 40 lieues).
Les lettres ci-après montrent que le passage par Londres n’était pas la règle. Elles étaient acheminées par une voie privée (St Malo, L’Orient, et même Ostende). L’une d’entre-elles est visée par le responsable du prisonnier de guerre à Trapson.
– Correspondance d’un prisonnier de guerre détenu à Trapson près d’Exeter avec son père miseur (comptable) de la municipalité de Redon (Ille et Vilaine
Lettre du 19 janvier 1762 de La Rochelle à Monsieur Joseph Fournier prisonnier de guerre au château de Winchester at Winchester Castle. Marque postale de LA ROCHELLE. Marque de destination manuscrite « angleterre ». Au verso, réception le 6 mars. Taxe 1 shilling 1 penny : 10 pence pour le trajet de Paris à Londres et pour Londres à Winchester 3 pence (distance de 62 miles entre Londres et Winchester (tarif Act of 1711 9 anne Cap 10 pour 80 miles et moins).
Il lui avait écrit de Dunkerque sur son chemin de retour au pays. « .. "J’ai reçu en son temps ta chère lettre du 3 courant, laquelle m’accuse réception à la mienne de Dunkerque du 27 novembre dernier. Je te suis très obligé de la part que tu prends à mon heureux passage.. » Il était détenu à Doncaster (dans le Yorkshire)
– Lettre d’un ancien prisonnier de guerre à son ami Joseph Fournier de Caussade.
Lettre simple du 14 novembre 1760 de Londres pour Gênes. Taxe 1 sh 3 (tarif des lettres en transit par la France du 1er juin 1711 (9 Anne. C10)
– Angleterre- Italie (transit par la France) Londres-Douvres-Flushing-Gand-Lille-Paris-Lyon-Turin-Gênes
(2) Great Britain Post roads, Post towns and Postal retes 1635-1839 d’Alan Robertson pages 35 et 57
Lettre double du 19 mai 1761 de Bayonne pour Londres. Marque postale « De Bayonne » (Lenain n°5).Mention manuscrite « franc à Paris ». Taxe perçue à l’arrivée à Londres 2s 6 p (tarif du 1er juin 1711 9 Anne, c10) d’un triple port ). Au verso, taxe 24 sols (tarif du 1er août 1759 de Bayonne à Paris pour une lettre de 17gr 40sols*17*28,349) et marque Bishop d’arrivée à Londres 8 IV (8 juin. Ici le I=J et V =U)
De Bayonne à Londres adressée en port franc jusqu’à Paris et en port dû à Londres (19 mai 1761)
« ..Le motif de la présente est de faire tenir en main propre l’incluse au sieur Samson Laborde, mon frère, prisonnier de guerre à Plimouth ; affin qu’il la découvre avec plus d’exactitude, vous m’obligeriez de l’adresser à quelqu’un de vos amis au ..bien qui la luy remtit de main en main quand aux port de lettre, vous pourrez les porter sur le compte de Mr Bertrand Roden mon beau-frère avec qui je m’entendray. …Signé Laborde.
Lettre du 28 juin 1757 de Bordeaux pour Launceston (située à 26 miles au nord de Plymouth) réexpédiée At Mr Folcher à Plymouth. Taxée 1 shilling 2 pence. 10 pence de France pour Londres et 4 pence de Londres à Launceston (distance de 213 miles entre les deux villes. L’ACT OF 1711 (9 ANNE. CAP.10) prévoit une taxe de 4 pence pour une distance au-delà de 80 miles pour une lettre simple. (2)
Visa de contrôle : Ex J.A.J.
Au verso, timbre à date bishop 14 juillet) apposée à Londres.
Échange de prisonniers de guerre
J’ai adressé votre cartel et votre lettre à Monsieur Jacob Albert à Londres
(1) Tome VI HISTOIRE GÉNÉRALE DES POSTES FRANÇAISES Tome VI d’Eugène VAILLÉ 1951 PUF page 452
Lettre du 19 septembre 1755 de Plymouth à destination de Bordeaux pour Mr Girard Négociant aux Chartrons. Aucune taxe n’apparaît. La lettre a dû être acheminée par un bateau privé.
La Guerre de Sept Ans (1756-1763) - Les prémisses de la guerre – Prisonniers de guerre
Ces deux lettres illustrent l'attitude de la marine anglaise qui cherchait à priver les Français des meilleurs capitaines de la Marine Nationale.
La capture, le 27 août 1755, des trois capitaines a été réalisée en temps de paix et donc en toute illégalité.
Le fils d’un armateur bordelais écrit à son père, Pierre Girard, pour lui annoncer, dans deux lettres successives, la prise de son navire et lui demande des consignes. Il indique qu’il a été pris, en temps de paix, comme deux autres navires français.
Les chroniques sont rédigées par André Métayer à partir de documents originaux.
Lettre du 26 septembre 1755 de Plymouth à destination de Bordeaux pour Mr Girard Négociant aux Chartrons. marque « DANGLETERRE » et taxe (tarif du 1er janvier 1704 de 17 sous s’expliquant ainsi : en provenance d’Angleterre et à destination de Paris 10 sous et de Paris à Bordeaux 7 sous soit un total de 17 sous. Dès la déclaration de la guerre par l’Angleterre publiée le 18 mai 1756, le Post-Office annonce que la correspondance des lettres était suspendue jusqu’à nouvel ordre et la France met en œuvre un service régulier par Amsterdam et l’Office hollandais fut interrogé pour assurer le transit franco-anglais(1) . Les lettres destinées aux prisonniers de guerre suivent la voie de Calais à Douvres et sont taxées en Angleterre comme une lettre normale
> " Les relations postales entre l'Angleterre et le France de la paix de Nimègue à la convention de la poste de 1833"
chronique par André Métayer
Mentions légales - Conditions - Contacts
Société Philatélique de Rennes
Mentions légales - Conditions - Contacts